mercredi 15 octobre 2008

Dita, contemplation...

Heather Renée Sweet... plus connue sous le nom de Dita... Dita Von tease... 

J'ai dit à Gretel que je voulais écrire un post sur Dita... (histoire de publier une photo... je l'avoue...quel prétentieux...) et je m'aperçois que je suis là, devant mon clavier, les bras engourdis, les yeux fixés sur les monts de Dita, incapable d'aligner quelques mots intelligents...  

Constat : il est plutôt vain de vouloir décrire et retraduire les émotions déjà si bien transmises par cette image... volupté, rondeurs, sensualité, trouble, perfection... la liste serait longue. Je me tais donc et je laisse Dita faire son teasing,  ça marche...

Merci Gretel.

Je me souviens pourquoi je ne l'ai pas rappelé... Charlie !



En fait... ça me rappelle un truc... oui, ceux qui ont vu la "fameuse" série Californication"... avec David Duchovny, comprendront où je veux en venir... (allez un petit coup de pouce... épisode 10...), oui en fait je me souviens maintenant...

Au-delà de cette petite anecdote, la scène finale de cette pub m'amuse beaucoup... ;-)

vendredi 10 octobre 2008

Roberta

Pour moi Roberta était avant tout une chauve souris aventurière dotée non seulement de la parole mais également d’une impressionnante collection de lunettes de soleil et aujourd’hui je découvre que Roberta est aussi une femme de 82 ans, qui a trois grands enfants et un jeune amant.

Elles sont tout aussi attachantes et excentriques l’une que l’autre.

La première est celle de Christopher Moore dans l’admirable et hilarant, « La vestale à paillettes d’Alualu » et la seconde est celle de Cali.

Il était temps que je la découvre cette deuxième Roberta, elle date de 2005 et de l’album « Menteur ». Outre et malgré ses 82 printemps, Roberta est le soleil qui illumine la vie d’un jeune homme qui s’étiole dans sa vie familiale et qui trouve réconfort dans les bras de Roberta. On découvre cette femme à travers le prisme amoureux rien à voir sa régulière « cette sangsue" qu'il « n'aime pas ».

Avec une élocution singulière, une montée en puissance dans le tempo libératoire, une musique un tantinet désuète et une irrévérence dans le sujet, cette chanson me rappelle furieusement le Grand Jacques, je la trouve merveilleuse. Et vous ?


Découvrez Cali!